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Tamarin à crête blanche

Le tamarin à crête blanche, avec sa crête blanche emblématique et sa petite taille, prospère dans les forêts colombiennes. Ce primate vocal et social séduit non seulement par son apparence, mais contribue également à la santé des écosystèmes en dispersant les graines, assurant ainsi la vitalité des forêts. Un véritable mélange de beauté et d'importance écologique.

8-15 ans
Durée de vie
220.0 - 900.0 g
Poids
Longueur: 18 - 30 cm
taille
24 mi/h
Vitesse maximale
Caractéristiques
Saguinus oedipus, communément appelé tamarin à crête blanche, est un petit singe trouvé dans les forêts tropicales du nord-ouest de la Colombie. Il se distingue par sa crête frappante de cheveux blancs et sa petite taille, pesant généralement moins d'une livre. Ces tamarins sont très sociaux, vivant en groupes dirigés par un couple dominant et connus pour leur communication vocale. Ils jouent un r?le vital dans la dispersion des graines, contribuant à la régénération des forêts.
Aire de répartition de Tamarin à crête blanche
Saguinus oedipus, communément appelé tamarin à crête blanche, est originaire de la région nord-ouest de la Colombie en Amérique du Sud. Cette espèce se trouve principalement dans les départements de l'Atlántico, Bolívar et Sucre.
Habitat de Tamarin à crête blanche
Conditions environnementales
Le tamarin à crête blanche habite les forêts tropicales et subtropicales, préférant spécifiquement les forêts secondaires, les habitats de lisière et les zones à sous-bois dense. La région conna?t un climat tropical avec des saisons humides et sèches distinctes, où les températures varient généralement de 24°C à 30°C.
Niche écologique
Saguinus oedipus est une espèce arboricole, passant la majeure partie de sa vie dans la canopée des arbres. Il joue un r?le crucial dans son écosystème en tant que disperseur de graines et fait partie du réseau alimentaire complexe de la forêt, se nourrissant d'un régime varié comprenant des fruits, des insectes et des exsudats végétaux. L'adaptation du tamarin aux habitats de lisière et aux zones de croissance secondaire reflète sa résilience à certains niveaux de perturbation de l'habitat, bien qu'il reste vulnérable à la déforestation à grande échelle.